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blog galerie « préc. longchamp, enseigne française de prestige publié le 19 janvier, 2011 dans histoire . 0 commentaire comment une si petite entreprise familiale fondée en 1948 est-elle devenue une marque incontournable de la maroquinerie de luxe et de l’accessoire? revenons rapidement sur l’histoire de cette marque tant prisée aujourd’hui, qui repose sur un mix de savoir-faire, de tradition et de grain de folie, perdure depuis plus de 60 ans maintenant et compte plus de 100 boutiques et 2000 points de vente à travers le monde : la maison longchamp est fondée par jean cassegrain en 1948 . elle était spécialisée à l’origine dans le gainage en cuir de pipes. en effet, la famille cassegrain est propriétaire du magasin « au sultan » pour fumeurs à paris. après la 2gm, jc innove et sort une collection de pipes gainées de cuir qui fait fureur auprès notamment de nombreux soldats des troupes alliées. ebloui par la majesté des chevaux de course, jean cassegrain dépose dès lors la marque longchamp et en fait son logo. dès 1955 , la marque se lance dans la petite maroquinerie. elle se met alors à exporter ses produits à l’étranger obtint un franc succès. mais la marque prend alors beaucoup d’ampleur, elle se lance dans la confection de bagages, il faut alors trouver de plus grands locaux. en 1960 , une nouvelle manufacture est alors ouverte dans le maine et loire. dans les années 70 nait le concept du sac « pliage ». lors d’un voyage au japon, philippe cassegrain, fasciné par les origamis veut réaliser un sac qui se plie comme une enveloppe: sac en nylon et cuir, matières élégantes et résistantes… cette idée va propulser la marque au sommet et pourra s’étendre à une plus large clientèle. ce fameux sac est alors vendu à 12 millions d’exemplaires, il va sans dire, qu’il demeure le plus gros succès de la marque. 2,5 millions d’exemplaire de ce complice du shopping est vendu chaque année. longchamp voit alors plus loin et décide de s’étendre davantage afin d’augmenter considérablement les ventes de cette luxueuse maroquinerie. des boutiques s’ouvrent dans différents aéroports internationaux: asie, japon, la notoriété de la marque est telle qu’en 1979 , une boutique ouvre même à hong kong. le succès est total. une boutique s’ouvre enfin à paris, rue saint-honoré en 1988 . en 2000 , longchamp étend sa gamme, se diversifie et propose une ligne de prêt-à-porter pour femmes, des accessoires et des bijoux. en 2008 , la maison souffle ses 60 bougies, reçoit le bfm award de la « saga familiale », prix qui récompense la famille cassegrain pour tous les efforts effectués sans relâche depuis sa création. elle réédite du coup, avec l’aide de différents artistes afin de raviver toujours un peu plus le phénomène comme par exemple avec jeremy scott en 2006 qui avait peint les sacs avec des pochoirs de lettrage comme « fragile » ou « this is not your bag ». lors de la 2e grande fête anniversaire de la maison, le 14 juillet à new-york, l’artiste belge jean-luc moerman est l’invité d’honneur. celui-ci édite alors une série très spéciale: 60 sacs, 60 dessins, 60 collectors. inspiré par l’art ancestrale du tatouage, le plasticien recouvre les longchamp de motifs organiques, aux impressions psychédéliques, mi art-déco, mi art tribal. les lignes sinueuses et abstraites donnent une allure un peu »street style » et les couleurs (purple, turquoise, fuschia, façon crayon pastel ou feutres gras) mettent de bonnes humeur. avec un prix plaffonant les 5 000 euro, jl moerman fait de chacun de ces sacs de véritables oeuvres d’art. autre tendance: le »cosmos »: un fourre-tout malin inspiré du bowling-bag qui a fait des étincelles lors du « statement bag » en automne 2008. photographié au bras de kate moss, l’égérie de la marque depuis 2005, il aimante déjà toutes les envies, en cuir platine comme en fourrure glam. mais pour cette année 2011 , audrey marnay devient la nouvelle icône de la maison. la jolie rousse au teint de porceleine sera-t-elle à la hauteur après la top britannique kate moss? réponse dans les prochains mois… la petite robe noire publié le 23 décembre, 2010 dans actu , portrait et styles . 2 commentaires « de qui portez vous le deuil mademoiselle ? demande paul poiret à chanel . « mais de vous, monsieur » lui répond-elle. la garçonne vient de tuer schéhérazade. salut les filles ! c’est bientôt noël et nouvel an , c’est pourquoi je vous propose un article sur une pièce de dressing culte : la petite robe noire ! pour celles qui ne savent toujours pas comment se vêtir pour ses soirées spéciales pas de panique, cette sombre petite élégante est la solution passe partout. rendez-vous dans le premier magasin, vous y trouverez forcément un modèle (sinon ce n’est pas un magasin digne de ce nom ). c’est la robe indispensable à avoir à portée de main dans tout dressing. elle convient à absolument toutes les occasions, grâce à sa couleur neutre elle reste discrète en même temps qu’ élégante , révélant toute la féminité du corps. comment la choisir ? noire unie et coupe simple , ainsi elle sera réutilisable à n’importe quelle occasion. la petite robe noire n’est que la base de votre tenue. considérons-la comme la toile de fond noir d’un tableau à laquelle on ajoutera des éléments sujets d’un thème bien précis. par exemple pour noël, on pourra agrémenter la robe d’ accessoires rouge ou blanc, voire d’une petite touche de strass … toujours en prenant garde à bien doser la quantité de bijoux. il ne s’agit pas de concurrencer le sapin !!! merci coco !!! ^^ historique: en 1926, coco chanel crée la petite robe noire considérée comme la « ford de chanel » à cause de sa simplicité . lorsqu’elle paraît pour la première fois dans le célèbre magazine vogue 1926 , la petite robe noire déclenche un véritable scandale . en effet, sachez que ce petit bijoux est extrêmement « avant gardiste »dans les années 20. le public lui reproche une coupe trop courte , limite indécente, et l’ utilisation inhabituelle du noir , généralement réservé au veuves et aux domestiques. cependant les critiques du magazine vogue américains voient en elle « l’uniforme de la femme moderne « , et elle est bientôt perçue comme le symbole de l’élégance à la française . la petite robe noire, inspirée du sarrau d’orpheline que coco portait dans son enfance, s’impose dès 1926. © la robe ford, vogue 1er nov. 1926 / chanel avant la montée en puissance des etats unis (après la seconde guerre mondiale), paris était la capitale de la mode par excellence, et la française le modèle de toutes les fashionistas. c’est pourquoi la petite robe noire connait une croissance fulgurante. innovante, elle devient le point de mire de tous les stylistes, et le vêtement de prédilection de nombreuses icônes de la jet-set. l’indémodable little black dress n’a pas fini d’inspirer le monde de la mode… voici un petit aperçu des stars qui ont adopté la lbd : louise brooks audrey hepburn dans breakfast at tiffany’s edith piaf dite « la môme » catherine deneuve dans belle de jour angelina jolie blake lively jessica alba kate winslet leighton meester liv tyler et pour finir une petite vidéo, pseudo « strip tease » de rita hayworth dans le film gilda. c’était sexy à l’époque… il parait. pour ma part je n’appelle pas ça une danse sensuelle mais une sorte de gigotement… on fait mieux en matière de sex appeal quand même ? rassurez-moi… bref, respectons la « retenue » de nos ancêtres. rita hayworth dans gilda de charles vidor (1946) ses avantages : comme chacun sait, le noir va avec tout et il amincit. de plus, une robe permet un sacré gain de temps lorsqu’on est pressée : nul besoin de dégoter un top qui va avec elle. elle apporte une petite touche de chic et de glamour sans en avoir l’air. on peut la porter au bureau, à une soirée ou même pour un brunch. elle est juste parfaite ! (2) mystérieuse lady blue de dior publié le 27 octobre, 2010 dans shooting et styles . 0 commentaire lady dior revient dans une nouvelle couleur et avec une nouveau court métrage aussi origin